Une clé qui vaut de l'Or

Accepter d'être jugé(e) de ce que vous ne voulez pas être afin d'être pleinement qui vous êtes

En effet, tant que vous vivez avec comme injonction de ne pas être "ce défaut" ou comme "cette personne", vous ne laissez pas libre cours à votre nature profonde.  Vous vous enfermez vous-même dans un rôle, l'opposé.  Cela fonctionne aussi à l'inverse évidemment, être comme telle ou telle personne, pensant qu'elle a réussi, qu'elle est mieux que vous (Cela ne doit évidemment pas empêcher de se laisser inspirer).  

Vous passez alors votre temps à vérifier que vous n'êtes pas ce dont vous avez peur de devenir ou être jugé(e) et la lutte commence. 
Vous vous méfiez sans cesse de vous-même et vous ne vivez plus vraiment.

Vous êtes hypnotisé(e) par la peur et non mû(e) par l'amour.  

En lâchant tous ces rôles, ces conditionnements, à votre rythme, vous découvrez ce qu'est réellement la confiance en soi et l'amour de soi.  Vous pouvez enfin vous confier dans les mains de votre guide intérieur qui connaît votre chemin mieux que quiconque.

 

Une clé en or vers la paix intérieure...

 

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Lâcher les armes par évidence...

Se battre contre ce qui est (sentir des tensions dans le corps, une anxiété, de l'insomnie, trop ou pas assez de poids, le/la partenaire) équivaut à se fâcher contre un mur parce qu'il ne bouge pas, en espérant que la colère le fasse bouger tout seul !

Là, c'est évident que c'est inutile et énergivore...

Et bien c'est pareil pour tout ce qui arrive dans l'instant.  

Ce qui est... EST !  Point final.

Le mode guerrier(ère) n'y changera rien... sauf à vous épuiser sous un joli masque de combattant(e).

Simplement constater ce qui est là, présent, et respirer dedans, crée de l'espace où tout peut être accueilli, ce qui permet également à du nouveau de prendre place et agir alors sereinement.

À vous de voir...  Se battre ou lâcher les armes et vivre en paix ?

Quoique vous choisissiez, restez doux et bienveillant avec vous-même.

 

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Être en Amour Vs Être amoureuse de l'Amour

Il est là
Son regard posé sur moi
Je sens mon coeur qui bat
La chaleur de mon corps qui croît

J'ai les papillons
Je suis amoureuse
Il empli ma vision
Mon Dieu que je suis nerveuse

Complètement chamboulée
Je ne puis plus réfléchir
Plus qu'une seule idée
Lui appartenir...

C'est là que tout a dérapé
Persuadée de l'aimer
Ce n'était qu'une attirance physique
Tout au plus une combinaison chimique

Ai-je pris le temps de le découvrir ?
Ses besoins, ses valeurs, ses loisirs ?
Ai-je pris le temps de le connaître ?
Pour l'aimer de tout mon Être ?

Évidemment non !
Aveuglée par une sorte d'hormones
Je nous croyais à l'unisson
Et ce n'était qu'une histoire de phéromones

Désormais je prends le temps de nous dévoiler
Le temps de nous dénuder
Le temps d'apprendre à conjuguer
Le verbe aimer

 

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Mon mental, un ami...

Mon mental me répète en boucle ce que je crois, ce que je pense de moi et non ce que je suis !

Ce n’est donc pas un ennemi à abattre, mais un ami qui a une patience d’ange pour me répéter sans cesse, les pensées auxquelles je suis encore accrochée, identifiée, histoire de me sentir exister.

Il n’est donc pas en train de me juger d’être trop ceci ou pas assez cela, mais de me prévenir.

Il n’est donc absolument pas judicieux d’essayer de le faire taire par la fuite (alcool, jeux, tabac/drogue, médicaments, bouffe, shopping, distractions, voire méditation, ésotérisme, spiritualité…) ou encore de lutter en faisant de son mental un ennemi, inutile aussi de rejeter ou nier les pensées ou encore de vouloir les modifier par la pensée positive, elles reviendront sans cesse afin de nous en « libérer »…

Toutes ces réactions ne sont que des stratégies de contrôle pour éviter de ressentir tout simplement la vie qui traverse ce corps, par peur de vivre des émotions jugées « négatives ». Et c’est ce mécanisme de lutte qui fait souffrir, pas les pensées, pas les émotions, pas le mental.

Les pensées accueillies pour ce qu’elles sont, juste des pensées crues, et c’est moi qui me sent accueillie (car moi, n’est autre qu’une pensée) ; laissant place à la paix (la lutte cesse), l’amour et la joie d’être Soi (plus rien à changer ou à rejeter) et une sensation de plein, de Présence bienveillante (plus de fuite).

A force de voir à la télé qu’il fallait être mince, beau et fort, avoir un beau job, une belle maison, être riche et en couple pour être heureux, j’ai fini par le croire !  On nous vend tellement du bien-être ou du mieux-être qu’on ne doute plus d’aller mal (Franck Lopvet).

Regardez si ce que vous croyez, vous appartient vraiment et vous rend heureux !

 

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LES DESIRS : lutte VS accueil

Lutte avec résistance à ce qui est ou accueil avec jouissance et paix profonde ?

Un désir n’a pour but que d’être goûté. Le désir est plein et se suffit à lui-même.

En effet, le désir, par exemple, de vivre une vie épanouissante est très goûteux, joyeux, jouissif jusqu’à ce que « quelqu’un » intervienne en voulant qu’il se réalise.

A partir de là, la tension augmente afin de combler le désir (se tendre vers) et donc la lutte commence avec la résistance à ce qui est : « absence de vie épanouissante ».

Le simple fait d’accueillir le désir tel qu’il se présente (envie d’une vie épanouissante) et de ressentir toutes les sensations que ce désir entraîne dans le corps, les goûter pleinement et en jouir, permet de vivre un moment de joie et vibrer ce bonheur.

Et lorsque je vibre de bonheur, ce que je rayonne à l’intérieur apparaît à l’extérieur comme par magie, sous la forme idéale, même si je ne comprends pas…

Donc en accueillant complètement le désir qui se présente, je vis et vibre le plein, l’abondance et non le manque et la tension !

A vos désirs…

 

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